A peine plus d'un quart des Allemands pensent que la Grèce devrait rester dans la zone euro, selon un sondage publié lundi, dans le Financial Times.
Selon le sondage, effectué en Allemagne, en Italie, en Espagne, en France et en Grande-Bretagne, par l'institut Harris pour le quotidien économique, auprès d'un millier d'adultes dans chaque pays, 54 % des Allemands sont contre un maintien de la Grèce dans l'euro, contre 21 % des Italiens et 27 % des Espagnols.
Près de la moitié - 49 % - des Allemands jugent que la Grèce ne sera pas capable de se réformer suffisamment pour ne plus avoir besoin d'un soutien financier de l'Union européenne, contre 12 % des Italiens et 30 % des Espagnols, selon le sondage Harris.
La chancelière allemande, Angela Merkel, est confrontée à une forte réticence de son opinion publique face à l'octroi éventuel d'un délai supplémentaire à Athènes, qui doit réduire ses dépenses d'environ 12 milliards d'euros sur les deux prochaines années afin de satisfaire aux conditions de ses créanciers internationaux –Union européenne, Fonds monétaire international et Banque centrale européenne. La "troïka" a suspendu le versement de la dernière tranche d'aide financière du plan de 174 milliards d'euros destinée à éviter une faillite grecque.
Les sentiments respectifs des Français et des Britanniques se rapprochent de celui des Allemands, même s'ils sont moins marqués, la sortie éventuelle d'Athènes de l'euro faisant 29 % d'indécis en France, et 43 % en Grande-Bretagne, qui n'appartient pas à l'union monétaire.lemonde.fr
3/9/12
Selon le sondage, effectué en Allemagne, en Italie, en Espagne, en France et en Grande-Bretagne, par l'institut Harris pour le quotidien économique, auprès d'un millier d'adultes dans chaque pays, 54 % des Allemands sont contre un maintien de la Grèce dans l'euro, contre 21 % des Italiens et 27 % des Espagnols.
Près de la moitié - 49 % - des Allemands jugent que la Grèce ne sera pas capable de se réformer suffisamment pour ne plus avoir besoin d'un soutien financier de l'Union européenne, contre 12 % des Italiens et 30 % des Espagnols, selon le sondage Harris.
La chancelière allemande, Angela Merkel, est confrontée à une forte réticence de son opinion publique face à l'octroi éventuel d'un délai supplémentaire à Athènes, qui doit réduire ses dépenses d'environ 12 milliards d'euros sur les deux prochaines années afin de satisfaire aux conditions de ses créanciers internationaux –Union européenne, Fonds monétaire international et Banque centrale européenne. La "troïka" a suspendu le versement de la dernière tranche d'aide financière du plan de 174 milliards d'euros destinée à éviter une faillite grecque.
Les sentiments respectifs des Français et des Britanniques se rapprochent de celui des Allemands, même s'ils sont moins marqués, la sortie éventuelle d'Athènes de l'euro faisant 29 % d'indécis en France, et 43 % en Grande-Bretagne, qui n'appartient pas à l'union monétaire.lemonde.fr
3/9/12
No comments:
Post a Comment
Only News