In his first State of the Union address to the European Parliament, Mr Juncker outlined an emergency plan for the compulsory distribution of 160,000 refugees among the 28 EU member states.
He also promised a permanent asylum mechanism to cope with future crises.
He urged Europeans to welcome the refugees and not take fright.
Europe was a continent where almost everyone had been a refugee at some time or another, and it was rich enough to cope with a challenge far smaller than the one facing Syria's neighbours - Turkey, Jordan and Lebanon.
"It is Europe today that represents a place of hope. This is something to be proud of and not something to fear," the former Luxembourg prime minister said in a 80-minute speech.
"The Europe I want to live in is illustrated by those who want to help," he added, denouncing calls to discriminate among refugees according to religion.
Mr Juncker mentioned historic huge waves of Irish, Scottish and Polish immigration to the United States.
He said: "We Europeans should know and never forget why the right to asylum is one of the fundamental, most important rights. We should not forget that."
He said: "It is true that Europe cannot house all the misery in the world. But we have to put it into perspective.
"This still represents just 0.11% of EU population. In Lebanon refugees represent 25% of population which has just 1/5 of the wealth of the EU. Who are we to never make such comparisons?"
"As long as there is war in Syria, the refugee crisis will not simply go away," Mr Juncker said.
"We are fighting the Islamic state, why are we not ready to accept those fleeing the Islamic State?"
Listing the problem top among a written list of priorities, before the economy, Ukraine, climate change and a looming vote on the UK’s membership of the bloc, he said the crisis was caused by "war, terror and instability in our neighbourhood".
Mr Juncker acknowledged the European Union was in a bad state, saying "it is lacking Europe and it is lacking Union".
He confirmed plans for a common EU list of "safe countries of origins" whose citizens would be subject to fast-track deportations if they breached EU immigration laws.
He also urged EU member states to allow refugees to work from day one while their asylum applications are processed...
rte.ie
9/9/15
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Germany, Sweden push for mandatory quotas to handle refugee influx
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Cameron confirme qu'il refuse de prendre part aux quotas de l'UE ...
ReplyDeleteLe Premier ministre britannique David Cameron a répété mercredi qu'il ne voulait pas entendre parler de quotas de réfugiés, alors que le président de la Commission européenne a présenté un plan d'accueil des réfugiés se trouvant actuellement dans le sud de l'Europe.
Ce plan, destiné à répartir d'urgence 160 000 réfugiés, ne concerne pas le Royaume-Uni, exempt des règles communautaires en matière d'immigration. Mais l'opposition travailliste a une nouvelle fois réclamé mercredi que le Royaume-Uni y prenne part, une revendication balayée par M. Cameron.
"Si toute l'attention se concentre sur des quotas de redistribution de réfugiés en Europe, cela ne résoudra pas le problème", a-t-il dit lors des questions hebdomadaires devant le Parlement, estimant aussi que "cela envoie le message aux gens que c'est une bonne idée de monter dans un bateau pour faire un voyage périlleux" vers l'Europe. "L'Europe doit trouver ses propres réponses pour les pays qui font partie de Schengen. Le Royaume-Uni, qui dispose de ses propres frontières, a la possibilité de prendre des décisions souveraines", a-t-il ajouté.
Le Premier ministre conservateur s'est engagé lundi à accueillir 20.000 réfugiés en cinq ans au Royaume-Uni, mais provenant de camps se trouvant à la frontière syrienne, de Turquie, de Jordanie et du Liban.............http://www.rtbf.be/info/monde/detail_cameron-confirme-qu-il-refuse-de-prendre-part-aux-quotas-de-l-ue?id=9075440
9/9/15
Crise des migrants - L'Espagne accepte d'accueillir le quota de réfugiés proposé par la Commission européenne...
ReplyDelete(Belga) Le gouvernement espagnol accepte le quota proposé par la Commission européenne pour la répartition des réfugiés fuyant notamment le conflit en Syrie, a-t-on appris mercredi auprès de la présidence du gouvernement.
L'Espagne accepte ainsi d'accueillir 14.931 personnes comme proposé par la Commission, qui s'ajoutent à 2.749 réfugiés déjà identifiés en juin, soit 17.680 personnes, a-t-on précisé de même source. (Belga)
rtl.be
Migrant crisis: EU quota plan criticised as 'drop in ocean'...
ReplyDeleteEU plans for member states to accept 160,000 new asylum seekers represent a "drop in the ocean" in the scale of the crisis, Germany's vice-chancellor says.
Sigmar Gabriel said 450,000 people had arrived in Germany so far this year, with 37,000 in the first eight days of September.
Tens of thousands, mainly Syrians, have pushed north in recent weeks.
Serbian TV says a record 5,000 migrants have arrived at the border with Hungary in the past 24 hours.
The Hungarian army earlier started military exercises to prepare for a possible future role in guarding the border and stem the flow of people - a move criticised by human rights groups.
Meanwhile, Austria's government said 5,700 people had crossed over from Hungary in recent hours. National train operator OeBB temporarily suspended services from Hungary because of the increasing numbers and the risks of overcrowding..............BBC
Accueil des réfugiés: de nombreuses disparités entre pays européens ...
ReplyDeleteL'Europe avance toujours plus ou moins en ordre dispersé dans la façon de gérer l'afflux de réfugiés qui ne tarit pas depuis des mois. Ce mercredi, devant le Parlement européen à Strasbourg, Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, a présenté son plan pour faire face à cette crise.
Mais les disparités en termes de politique d'accueil des réfugiés par les États membres restent significatives. 28 pays et quasi autant d'attitudes différentes face à la crise des migrants.
En Europe centrale, par exemple, plusieurs pays ont accueilli avec réticence les propositions de Jean-Claude Juncker qui a demandé aux États de l'Union européenne de s'accorder sur la répartition de quelque 160 000 réfugiés syriens et irakiens.
Le discours de Juncker fâche le gouvernement polonais
C'est le cas de la Pologne où le discours de Jean-Claude Juncker est très mal passé. Le président de la Commission européenne a reproché à Varsovie d'oublier que l'Europe de l'ouest a accueilli des milliers de Polonais pendant la seconde guerre mondiale. Ce à quoi les milieux politiques polonais de tout bord répondent que les Polonais n'auraient pas émigré en 1939 s'ils n'avaient pas été d'abord lâchement abandonnés par cette même Europe de l'ouest..............rtbf.be
10/9/15