Les polices américaine et de l'Union européenne ont neutralisé les organes de propagande en ligne du groupe terroriste État islamique (EI), annonce ce vendredi Europol, l'office de police criminelle pour l'échange de renseignements entre polices nationales au sein de l'UE.
L'opération visait spécifiquement Amaq, l'agence de presse et un des organes de propagande de l'organisation djihadiste.
Dans le cadre d'un dossier du parquet fédéral, l'action a été menée simultanément mercredi et jeudi en Belgique, en Bulgarie, en France, aux Pays-Bas, en Roumanie, au Royaume-Uni, au Canada et aux États-Unis. Elle a été coordonnée depuis le siège d'Europol par l'IRU (European Union Internet Referral Unit), qui fait partie de l'ECTC (European Counter Terrorism Centre), précise le parquet fédéral belge.
Son objectif était de "déstabiliser fortement" le dispositif de propagande de l'État islamique et d'identifier et d'interpeller les administrateurs de ces serveurs, en saisissant et en fermant les serveurs utilisés pour diffuser la propagande de l'EI sur internet.
Des serveurs ont déjà été saisis et fermés en Bulgarie, en France, en Roumanie, aux Pays-Bas, au Canada et aux États-Unis. En Belgique, l'enquête est menée en coopération avec la police fédérale de Gand.
Dans l'intérêt de l'enquête, aucune autre information ne peut être divulguée, ajoute encore le parquet fédéral belge.
[rtbf.be/Belga]
27/4/18
L'opération visait spécifiquement Amaq, l'agence de presse et un des organes de propagande de l'organisation djihadiste.
Dans le cadre d'un dossier du parquet fédéral, l'action a été menée simultanément mercredi et jeudi en Belgique, en Bulgarie, en France, aux Pays-Bas, en Roumanie, au Royaume-Uni, au Canada et aux États-Unis. Elle a été coordonnée depuis le siège d'Europol par l'IRU (European Union Internet Referral Unit), qui fait partie de l'ECTC (European Counter Terrorism Centre), précise le parquet fédéral belge.
Son objectif était de "déstabiliser fortement" le dispositif de propagande de l'État islamique et d'identifier et d'interpeller les administrateurs de ces serveurs, en saisissant et en fermant les serveurs utilisés pour diffuser la propagande de l'EI sur internet.
Des serveurs ont déjà été saisis et fermés en Bulgarie, en France, en Roumanie, aux Pays-Bas, au Canada et aux États-Unis. En Belgique, l'enquête est menée en coopération avec la police fédérale de Gand.
Dans l'intérêt de l'enquête, aucune autre information ne peut être divulguée, ajoute encore le parquet fédéral belge.
[rtbf.be/Belga]
27/4/18
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